Imprégnées de teintes rouges, brunes et orangées, les toiles de Ramon Levil ne sont pas sans rappeler les obsessions colorimétriques de Paul Gauguin, chaleureuses et exotiques. D'autant que le chilien pousse le vice jusqu'à peindre de très beaux nus et des natures mortes qui ne sont pas sans rappeler le peintre voyageur. Lui avoue pourtant une admiration sans nom pour André Masson, spécialiste de ces formes automatiques qui évoluent ensuite pour construire un univers. À vous de trancher !
Du 15 novembre au 16 décembre