Réflexions sur la fin d'un roman et de celui-ci en particulier d'ailleurs
on pourrait faire un itinéraire à choix:
1) arriver au port de suite
2) arriver quelque part (au port, on sait pas) mais en explorant tous les aspects ou du moins le maximum d'aspects de cette histoire
3) arrêter rapidement l'histoire parce que l'intérêt des lecteurs s'émousse
4) arrêter très rapidement l'histoire parce que les disponibilités de l'écrivante s'émoussent
5) faire voter les lecteur pour désigner des coupables, des chefs et la ou les mandragores, qui est le chef (suprême- chef de quoi?-suprême de volaille mmmm!)
6) lire le résumé de la fin fourni par l'écrivante de l'histoire
7) lire simplement la fausse première et quatrième de couverture du roman (fausse puisque publication in blog and not on paper)
ainsi que les supposées "critiques" des lecteurs une fois l'histoire publiée
(une façon sournoise de redéployer l'histoire à volonté sans en donner la solution)
8) penser que tout comme souvent dans la vie, cette histoire ne mène pas précisément immédiatement quelque part et qu'il faudra un sacré recul pour comprendre les tenants et aboutissants (tant pis pour ceux qui sont dans la galère actuellement!) et que l'auteure reprendra et synthétisera tout ça dans quelques bonnes années; alors attendre plutôt la version analyse et synthèse...
9) envoyer le '*.doc" à la poubelle pendant une bonne période décennale, l'auteure le retrouvant par la suite, le remodèlera, le complètera et en fera... un ouvrage à envoyer au pilon? ou la chance lui souriant ...(mais au fait sera-t-elle vivante dans 10 ans! ne doit-elle pas partir vers d'autres lieux incessamment soupe?)
si d'autres choix sont possibles, prière de me les signaler ci-dessous
merci
(mon Djam, ceci ne s'adresse pas à toi, puisque nous faisons fidèlement le point de nos enquêtes sur cette histoire fictive et ses personnages chaque week-end, alors ne prend pas le "bout"*, stp, je réfléchis, voilà, c'est tout!)
*du verbe bouillir = ne te mets pas en colère