Le chemin de la Mandragore, pourquoi?

ici Djam
j'ai oublié de poser une question à ma belle fleur:
- ces notions de pouvoir et de justice, sont plus larges chez toi que le simple pouvoir politique ou les affaires de droit, tu parles aussi de Dieu, de la Liberté à ce que je vois dans tes deux textes de départ
(départ à plusieurs sens du terme)

Djam

- oui départ, début, mise en route, voyager, découvrir, une randonnée

tu as raison, des notions plus larges en effet
en fait me préoccupe tout ce que vit l'homme en ce moment, et tout ces lieux ou situations où le bât blesse!

KNTHMH

merci et bisous ma fleur!

Djam

je vais rajouter plusieurs précisions à ta demande non dénuée de bien-fondé:

1) la mention "fiction" à chacune des lettres échangées par Hazzel et Itzia
bien entendu "toute ressemblance avec des personnes et des situations existantes, ayant existé, ou se produisant dans le futur, ne seraient que fortuites et aléatoires"

2) la "mandragore", pour moi et dans le cas de ce travail, ou le cadre du travail que j'ai entrepris, car c'en est un, un sur moi tout d'abord et comme toujours, et un sur les conditions de vie actuelles de certains d'entre les humains (peut-être de tous d'ailleurs)

la mandragore, dis-je, symbole du bourreau au temps où l'on pendait et tranchait allègrement les têtes en conclusion de procès, ou bien où l'on brûlait sur des buchets, est pour moi, dans ce cas symbole de justice
une justice plus proche du bourreau
que le "symbole" du chêne de St Louis n'aurait pu l'être
quoique St Louis s'en fut mourir où? aux croisades!
bon à l'époque on jugeait "juste" d'aller pourfendre les maures, les voleurs de "tombeau" juif!

mais ça va plus loin que la JUSTICE, ça rejoint aussi la VIE et la LIBERTE intrinsèque à chaque existence

oui c'est un puzzle, un labyrinthe dont personne n'est vraiment venu à bout jusqu'à ce jour
loin de moi l'idée d'en venir à bout
mais d'apporter une contribution à ce tableau
inconfortable
certes puisqu'il est problème à chacun, à chaque société et organisation humaine

je suis infiniment "incarnée" dans le monde et infiniment partie prenante de tout ce que j'écris même si je ne dis pas "moi" telle qu'en moi
je dis certainement mon monde, intérieur autant qu'extérieur, souvent extérieur

j'imagine qu'en lisant petit à petit pour celui qui aurait envie de faire randonnée avec moi, la brume pourrait se lever
comme dans le texte de prologue

le terme me sera-t-il connu ou révélé?
l'important comme souvent dans une randonnée c'est le chemin plus que le but final
et le but peut être le chemin, c'est forcément le chemin qui permet d'apprécier les découvertes au bout de lui (au bout du chemin)